Vous m'avez jusqu'ici connu sans langue de bois; Cherchant toujours à donner ce que je considérais comme l'heure juste. C'est au même exercice que je veux m’atteler ce jour. Il s'agit cette fois d'un coup de coeur. Voici quelques longs mois que comme bon nombre de gabonais voir d'africains, je suis avec beaucoup d'intérêt le petit journal de Canal présenté par Yann BARTHES. Une émission qui je vous l'avoue, me laisse et c'est rare chez moi, croyez le bien, béate d'admiration devant la France... Oui, c'est cette France là qui me rend envieuse, insatisfaite de mon sort, de mon rendement en tant que journaliste.

Je suis en effet fan de toutes ces émissions où les ministres de la République ne sont pas mis sur un piédestal mais où ils peuvent répondre, sans qu'on ne manque de respect ni à leur rang, ni à leur intelligence, ni à leur compétence à toutes interrogations, aux préoccupations des populations justes en donnant *l'heure exacte*. Bien sur, je le répète je ne prône pas un langage aussi dur que celui utilisé souvent par le petit journal, juste cette opportunité d'avoir *des politiques* ouverts à l'information, à la vulgarisation de l'information. et la je m'adresse au reste du monde:

Il y a au Gabon des journalistes tout aussi capables que ceux employés par Canal ou d'autres chaînes françaises. seulement l'ouverture d'esprit qui fait en sorte que deux personnes vivent ensemble continue de faire défaut de ce côté de la planète. En attendant des jours meilleurs(qui vivra verra), je continue de regarder ce programme qui n’arrête pas de surprendre encore et encore: de beaux jours restent son devant le petit journal de Yann BARTHES. C'est là mon Intime Conviction.

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