Gabon: Quand la classe politique a perdu le sens du respect de l'autre et de la famille. Mon Intime Conviction.

Chers lecteurs,

Le procès qui est fait* aux émergents dans la majorité aujourd'hui est qu'ils refusent systématiquement le respect de deux valeurs fondamentales de la culture gabonaise: le culte voué aux anciens et celui voué à la famille. Deux valeur qui devraient aller au delà même de nos valeurs républicaines, j'allai dire patriotique. Si en un sens je comprends les anti émergents dans le fait que la famille, cellule de base de la société doit recevoir tout l'intérêt dû à son rang, tout comme, le anciens méritent tous les égards dus aux services rendus à la Nation mais aussi parce qu'ils connaissent et ont vu ce que nous ignorons et que leur sagesse dans la logique dépasse la notre, je pense cependant que ce *procès du moment manque d'équité*. En effet, le pouvoir actuel qui prône l'égalité des Chances, doit reconnaître avant tout les égards qu'il faut accorder à tou les anciens. Nombreux aujour'hui se sentent traqués, méprisés, regardés de haut par une génération que par le passé ils ont prit chacun sous leur aile. Cela n'est pas juste. Aujourd'hui l'argument, *ils ont mal géré pour expliquer cette mise en *quarantaine* ne s'explique plus car même dans le camp actuel des soupçons de scandales naissent chaque jour. Pareillement, le anciens n'arretent plus peut être par représailles de pointer du doight, ce qu'ils qualifient désormais de *dérive du pouvoir actuel dit pouvoir *jeunesse ou emergent*. Le citoyen lambda assiste donc désormais à une guerre verbale sans merci livrée par média interposés. Triste image du Gabon que celle- ci désormais présentée à la face du monde! Je n'ose penser à l'Etat d'Esprit de Feu Léon MBA, Omar BONGO ONDIMBA, Damas ALEKA et autres devant se spectacle désolant. Chez nous en Afrique, *pères et fils*, *frères d'autrefois* s'entredéchirent pour un pouvoir qu'ils ont trouvé et que tôt ou tard, ce qui est logique, ils devront forcément laisser. Ils savent portant que tout pouvoir connait des victoires, succès et des échecs. Et qu'en réalité personne ne peut montrer patte blanche. Le Problème de la majorité et l'opposition gabonaise, c'est qu'aucun des deux camps ne veut reconnaître sa part de responsabilité et lacher prise. Soyons logique, comment ceux qui ont géré pendant plus d'une vingtaine d'années ont moins* pillé les caisses de l'Etat* que ceux qui ont géré depuis 7 ans? A mon sens il y a un manque de logique. Cependant, ceux qui sont aujourd'hui au pouvoir occupaient aussi pour beaucoup de fonctions au sein de l'ancienne élite, la part des choses doit être donc faite. Le peuple gabonais doit refuser d'être dupe et dupés si facilement. Si chagement il doit y avoir, ce la ne peut pas être avec ceux qui ont déjà été aux commandes dans ce pays. Cela reste denué de bon sens. Cependant, la rupture ne doit pas non plus être brutale. Mettre à la tête du pays un quasi novice comporte le risque de fragiliser davantage le intérêts du pays qui sont déjà chancellants. C'est pour cela qu'un second mandat our le pouvoir actuel reste l'option la plus plausible quand on sait que la majorité des griefs qui lui sont fait vient d'erreurs de gestion commises par le pouvoir précédent. Cahque partie doit reconnaître son dégré de responsabilité et accepter de travailler avec l'autre. Le Gabon est si *grand qu'il n'a absolument pas besoin de toutes ses tensions qui à la longue n'épuisent que les populations aujourd'hui essoufflées par les questions de loyers trop chers, chereté de la vie, perte de repères culturels etc. Pour ma part, le respect de l'ancien et de la famille doit rester la base. Il faut en retour que les anciens montrent laissent s'exprimer cette sagesse qui doit faire la différence. Il y a bien d'autres moyens de se faire entendre que* d'attiser le feu*, le sage calme et appaise, c'est là même l'essence de cette qualité suprême. Vivement que justement'ces vrais gabonais prouvent par leur actes qu'ils aiment vraiment ce pays et leur compatriote. Ce serait bien là, la preuve qu'ils sont plus gabonais que d'autres comme ils le disent, Pour le moment on est bien loin de ce compte. La Nation regarde et appréciera au moment opportun après analyse des propos de chacun qui et vraiment gabonais et qui l'est moins. Qui aime vraiment ce pays et qui en réalité n'aime et ne recherche que ses propres intérêts. Qui vivra verra. C'est là Mon Intime Conviction.