Christianisme et rébellion. Ce mélange est il possible dans la vie d'un croyant? le cas de ces *chrétiens* qui soutiennent l’opposition radicale au Gabon. Quelle doit être la part du peuple?  Mon Intime Conviction

Chers lecteurs,

depuis deux à trois décennies, le peuple gabonais aurait dans sa majorité rejeté l'animisme  pour embrasser  les religions monothéistes tels l'islam, le christianisme.  Cette  dernière désignée comme la religion du *frère blanc* par une minorité a souvent été considérée comme 'l'arme de persuasion massive' pour assujettir mêmes les plus récalcitrants de nos  ancêtres.


les chrétiens ont cependant vu sa pratique, le secours ultime  pour une parfaite réconciliation avec le Dieu Créateur. Ils ont ainsi décidé  que quoiqu'il pourrait leur en coûter, ils obéiraient aux lois du Seigneur. un bon nombre semble avoir toutefois déchanté,  ou alors perdu la vision, oubliant que  le chemin du Seigneur peut se révéler tortueux pour qui n'est pas très affermi tant leurs actes du moment laissent à réfléchir  auraient ils raté le test?


Jésus, Lui même, fils de Dieu et origine du christianisme a déclaré que  toute la loi se résume en ces deux phrases: <Aimes le Seigneur ton Dieu de toute ton âme, de toute ta force,  de tout ton esprit> et <aimes ton prochain comme toi même>. 


Il convient donc de s'interroger finalement sur ledit* prochain*.? peut il  se retrouver dans la vie publique gabonaise, dans l'opinion? Il y en a t'il parmi les personnalités au pouvoir ? peuvent ils être  pris en compte? En d'autres termes devons nous eux aussi les aimer comme nous mêmes?


Si vous me posiez la question, je vous répondrais évidemment  'Oui', d'ailleurs il  est aussi écrit dans le livre sacré, la Bible, <priez pour vos autorités afin que la paix règne. Priez pour le pays dans lequel vous vivez>.
Cela dit, comment expliquer alors que tant de prétendus  chrétiens soient  capables  d'autant de haine?


Depuis la dernière présidentielle, j'ai même vu et entendu de prétendus hommes d'église, encourager, cautionner  la violence, verbale, physique. Comment cela a t'il pu être possible? encore Aujourd'hui , je me le demande?

Ne devrions nous pas plutôt prier pour nos dirigeants, plutôt que de les lyncher sur la place publique? Et si finalement,  le peuple avait tourné le dos à ce Dieu, tant mentionné dans les posts, les propos?

Ne serait Il donc, désormais, qu'un fond de commerce pour certains  qui, par crainte de voir baisser les dîmes dans les églises ont préféré suivre le mouvement ou se taire? N'est ce pas la raison pour laquelle, la population  paie  le lourd tribu dans une crise venue de nulle part? plombant tous les secteurs d'activités?

Car qui en réalité la subit  au quotidien? Qui peine à joindre les deux bouts? pas le pouvoir,  Encore moins  les opposants qui vivent dans des maisons dorées, et voyagent au gré de leur humeur, faisant un Libreville /Paris, comme d'autres feraient un Ntoum/ Libreville et même, cela reste difficilement réalisable pour certains gabonais à ce jour. 

Nous gabonais, africains sommes profondément croyants. Cela est indubitable. Nous savons qu'une situation donnée a la plus part du temps pour origine, des actions  souvent inhérentes au monde spirituel., l'oublier aujourd'hui serait une erreur monumentale.


Il incombe donc  au peuple de renouveler sa confiance et sa loyauté à son dirigeant. Sachant que le Créateur  veille. Il  ne doit surtout pas se laisser distraire par ces quelques vendeurs d'illusion, avides de servir leur propre intérêt au détriment du peuple. Le gabonais  peut et doit refuser d'être le pion d'un jeu où tout les dés sont pipés d'avance où il serait  balancé dans tous les sens.

Et bien que  la  loyauté ne signifie pas être  en tout temps d'accord avec son chef, elle implique néanmoins de lui accorder le bénéfice du doute car on a appris à le connaître mais surtout on a confiance en Dieu. On s'en réfère à Lui pour une solution véritable.

Les chrétiens le  savent  bien "'Il donne à qui demande" demandons donc  plus de sagesse pour nos dirigeants. Si l'on estime leur gestion peu satisfaisante, si l' on est convaincu que le Chef a tort , on doit lever les bras vers le ciel pour lui, au lieu de l'exposer, ou le renier  en  public. Cela est  contraire aux écritures! Un chrétien qui prend part à de telles initiatives peut il avoir déjà connu Dieu?

Au Gabon, beaucoup parmi nous se disent chrétiens. Cela pourrait être vrai mais nos actions au quotidien  semblent dire le contraire. Par exemple,  pourquoi ne prions nous pas pour nos autorités tel que cela nous est recommandé? Si nous le faisons,  pourquoi n'y a t'il  pas de changement notable dans la situation du pays?  Aurions nous failli jusqu'ici? 
Une preuve? le nombre de  'chrétiens' sur les réseaux sociaux qui  prônent la division, la violence, la rébellion, tout ce qui en réalité appartiendrait à l'Ennemi.
Très triste, C'est mon Intime Conviction.

 

Christianisme et rébellion. Ce mélange est il possible dans la vie d'un croyant? le cas de ces *chrétiens* qui soutiennent l’opposition radicale au Gabon. Quelle doit être la part du peuple?  Mon Intime Conviction
Retour à l'accueil