Je suis sur France 2 ce soir et je suis le magazine une/ un destin. le numéro porte sur Philippe Noiret, un acteur français que j’ai éperdument aime dans mon enfance. si vous ne connaissez pas le programme, il s’agit d’une série de témoignages sur une célébrité. Les images déferlent les mots se succèdent, vantant le génie et l’intelligence du molosse et un malaise commence à m’envahir. Et tout à coup je réalise que ce n’est pas la première fois que je suis saisie par ce malaise. Je fais tout à coup le constat que la pratique de ce procédé, est courant. Dans le monde du show bizz, il faut absolument cultiver le mythe. Quand bien même, l’invite est une* ordure*, on vous vantera tous ses mérites. le faisant a la limite pour un saint. J’avoue que je ne comprends pas cette logique. mais je perçois bien derrière cette manière de faire, une sorte d’entente propre au milieu. tout en effet y est régit par le paraitre. Puisque le show bizz c’est avant tout une industrie (l’une des plus puissantes au monde), il faut donc sauver les apparences, pour s’assurer de toujours plaire au public. le garder tel un nouveau ne dans l’illusion d’un monde parfait où* tout le monde il est beau, il est mignon). Alors qu’en réalité c’est un monde où souvent les anges se révèlent pire que des démons. Concernant Noiret cependant, l’amour profond, indéboulonnable que je lui porte, me permet de rejoindre les autres invités de francec2, et de dire. Qu’assurément Noiret était une icone : c’est la mon intime conviction.

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